George profite de sa première véritable relation avec un garçon. Clancy et Joy préparent chacun de leur côté l'exposé de leur fille, et Daisy enfreint les règles de faucheuse.

Une fois n'est pas coutume, on en apprend beaucoup sur la personnalité de Daisy dans cet épisode, où elle s'avère tout simplement bouleversante. Elle doit aujourd'hui chercher l'âme d'une jeune femme qui est la maîtresse d'un homme marié. Pour ce faire, elle porte des vêtements de femme de chambre. Dans un souci de satisfaire son partenaire, la jeune femme demande des conseils sur ses tenues auprès de Daisy qui n'hésite pas à l'aider. Plutôt curieuse sur sa façon de mourir, Daisy se cache dans le placard semi-ouvert et observe la scène en larme : l'homme en question étrangle la jeune femme pour mettre fin à sa relation. Enfreignant toutes les règles, Daisy marque le nom de l'assassin sur une feuille avant de s'en aller sans avoir accompagner l'âme de la jeune femme jusque dans l'au-delà. C'est Roxy qui s'en charge, et comprend ce qu'a fait Daisy.

Pour Rube, il est toujours en quête d'explication suite à ce fameux colis revenu à destination après 80 ans. Il charge alors Roxy de donner les post-it aux reapers durant son absence.

Chez les Lass, Reggie doit fabriquer un exposé évoquant le cour humain. Pleine de mauvaise volonté, elle demande à sa mère de lui faire, pendant qu'elle va chez son père. En concurrence, son père, qui semble être de nouveau célibataire, prépare également quelque chose pour sa fille. Reggie présente finalement à la classe les deux projets de ces parents.

George, elle, est sur un petit nuage. Il faut se rappeler qu'elle n'a jamais eu de petit ami avant de mourir, et que sa relation avec Trip, dont elle a fauché le père, semble lui donner des ailes. Elle rejoint en effet le jeune homme aux funérailles de son père, et officialisent les choses par un baiser sous la table. Mais 18 ans sans aucune aventure, c'est très long. Les choses vont donc très vite, et George perd sa virginité post-mortem dans les bras de Trip, qui quitte la chambre avec un pathétique « on s'appelle ? ».